BIŌNTE® QUIMITŌX® PLUS SOLUTION INNOVANTE CONTRE LES MYCOTOXINES RÉGLEMENTÉES, ÉMERGENTES ET MASQUÉES

La consommation de céréales et de leurs dérivés est la principale source d’exposition des animaux aux mycotoxines. En plus des mycotoxines réglementées, il est important d’être conscient de la présence de mycotoxines émergentes, telles que la beauvéricine et les enniatines A, A1, B, B1, et les mycotoxines masquées. Ces groupes de mycotoxines ne sont pas systématiquement détectés dans les matières premières et/ou les aliments pour animaux et peuvent passer inaperçus. En effet, les méthodes d’analyse pour leur identification sont en cours de recherche et de développement afin de pouvoir établir des niveaux législatifs de recommandation ou de réglementation. Selon l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA, pour ses sigles en anglais) (2014), les données disponibles sur la toxicocinétique de la beauvéricine et des enniatines sont limitées. De même, des études complémentaires sont nécessaires pour évaluer la toxicité des mycotoxines masquées et leurss impacts sur la santé animale.

Quelles sont les mycotoxines émergentes ?

La beauvéricine et les enniatines sont des mycotoxines émergentes avec une structure chimique similaire. Elles sont principalement produites par des champignons du genre Fusarium et peuvent coexister régulièrement avec d’autres toxines fongiques de Fusarium dans les grains de céréales. Selon l’EFSA, les propriétés ionophores de ces mycotoxines émergentes sont liées à leurs effet cytotoxique potentiel. Cependant, d’autres études sont nécessaires pour déterminer les propriétés toxiques de ces mycotoxines émergentes, afin de connaître les seuils de tolérance des différentes espèces animales et le risque qu’elles représentent en production animale.

Que sont les mycotoxines masquées ?

Les mycotoxines masquées sont des mycotoxines modifiées par le métabolisme des plantes, des champignons ou des animaux. elles ont souvent une toxicité similaire à leurs toxine mère, mais peuvent aussi être plus ou moins toxiques selon leurs biodisponibilité : Elles peuvent avoir un effet toxique direct sur l’organisme ou générer d’autres métabolites. Dans le cas de la zéaralénone et de ses dérivés, l’analogie avec la structure chimique de l’œstrogène détermine sa toxicité, affectant principalement le système reproducteur (Tatay, 2017). L’α-zéaralénol est un métabolite de la zéaralénone qui se caractérise par une plus grande activité œstrogénique et, par conséquent, est plus toxique chez les animaux (Ropejko et Twaruzek, 2021). De même, l’union avec des groupes tels que les sulfates ou l’acide glucuronique donne naissance à des métabolites tels que la zéaralénone-14-glucuronide, l’une des mycotoxines masquées dominantes dans le sang et les tissus (Póor et al., 2023).

Les mycotoxines, un problème croissant en alimentation animale

L’augmentation des manifestations cliniques dues à l’ingestion d’aliments contaminés par des mycotoxines nécessite une solution efficace qui limite l’exposition des animaux aux mycotoxines émergentes et masquées, et atténue ainsi les conséquences négatives qu’elles peuvent engendrer sur la santé animale.

BIŌNTE® a développé le produit BIŌNTE® QUIMITŌX® PLUS, une combinaison spécifique de composants minéraux, phytogéniques et organiques efficaces pour atténuer les mycotoxines.

Récemment, les résultats d’une étude in vitro ont démontré l’efficacité de ce produit contre les mycotoxines émergentes et masquées. A noter que le produit présente également des résultats élevées d’efficacité  des mycotoxines les plus répandues (Zéaralénone, Fumonisine B1, Ochratoxine, mycotoxine T2 et Aflatoxine FB1) validés par Trilogy Lab (USA).

Validation de l'efficacité de BIŌNTE® QUIMITŌX® PLUS

Plus précisément, l’essai a été réalisé en collaboration avec le Laboratoire Biotech Agrifood de l’Université de Valence (Espagne), pour démontrer l’efficacité de BIŌNTE® QUIMITŌX® PLUS contre les mycotoxines émergentes telles que la beauvéricine et différentes enniatines, en plus de la mycotoxine masquée ZEA -14-glucuronide.

L’étude a simulé les conditions du tractus gastro-intestinal et son efficacité a été déterminée par la chromatographie liquide à haute pression-spectrométrie de masse en tandem (HPLC-MS/MS) à pH 3 (simulant les conditions de l’estomac) et à pH 6 (simulant les conditions de l’intestin).

Les résultats ont montré que le produit BIŌNTE® QUIMITŌX® PLUS a une efficacité in vitro optimale au niveau de tout le tractus gastro-intestinal contre les mycotoxines émergentes évaluées : beauvéricine, enniatine A, enniatine A1, enniatine B, enniatine B1. Concernant le ZEA-14-glucuronide, l’efficacité in vitro de BIŌNTE® QUIMITŌX® PLUS est de 93,4% à pH 3 et de 92,6% à pH 6

En résumé, BIŌNTE® QUIMITŌX® PLUS a obtenu une efficacité élevée contre les mycotoxines émergentes et masquées. De plus, d’autres études soutiennent une efficacité élevée contre les mycotoxines les plus répandues dans l’alimentation animale avec une action rapide et sélective, démontrant qu’il s’agit d’un produit puissant pour atténuer les effets des mycotoxines dans la production animale.